Harcèlement moral : les recours
Au boulot, excessivement, vous ne subissez que des gestes ou paroles inconvenantes venant d’une ou de certaines personnes (directeur, chef hiérarchique, collègue…). Aux moindres actions ou mots de votre part, intimidation vous guette, et parfois même vous n’êtes pas à l’abri d’une éventuelle agression. Vous vous sentez humilié et discriminé, votre psycho (effet du stress, dépression nerveuse, tendance à se renfermer sur soi-même, suicide…) et votre physique en sont affectés. En plus du mépris sans raison particulière à votre égard, ainsi que les chantages et insultes à longueur de journée, votre dignité est portée atteinte au plus haut point.
Ce sont les signes typiques du délit dit : harcèlement moral et vous en êtes bel et bien la victime. Non seulement, cet acte s’acharne sur votre personne, mais porte également préjudice à votre carrière. Ne vous laissez, en aucune façon, abattre à ce genre de traitement ? Réagissez puisque c’est interdit par la loi ! De plus, tant pour le harcèlement moral que le harcèlement sexuel, c’est valable de sanction.
Tentative première : la médiation
Sachez à présent que vous, comme tout autre salarié contractuel, êtes protégé contre le harcèlement moral. D’ailleurs, toute société a l’obligation d’en protéger ses salariés et est tenue de prendre toutes les mesures préventives nécessaires contre.
Face à cette forme de maltraitance, nul ne pourra ressentir votre souffrance, mais il vous est avant tout conseillé d’avoir recours au dialogue.
Le code de travail vous indique une procédure de médiation avant de contre-attaquer votre harceleur. Conseiller juridique ou inspecteur de travail, collègue (témoin) ou représentant du personnel, avocat… pourront à chacun d’eux vous servir de médiateur en interne dans le but d’amener à un accord pour arranger les choses.
Aucune amélioration ! Il est temps de passer à la vitesse supérieure
Vous trouvez que la situation se dégrade et vire même au cauchemar, vos efforts sont en vain. Il est grand temps dans ce cas que vous vous protégiez sur le plan juridique. Ne vous isolez en aucune façon et protégez-vous afin de ne pas subir les conséquences à cette pratique funeste.
Vous pouvez ainsi engager une action en justice contre votre harceleur auprès du conseil des prud’hommes. Néanmoins, n’omettez pas d’apporter toutes les preuves valables à votre accusation (lettres, certificat médical, témoignages, et différentes notes utiles…). De cette manière, vous avez le plein droit sur des dommages et intérêts une fois l’action aura été jugée avoir lieu.
Sinon, posez vos questions à nos avocats en ligne spécialisés afin de traiter votre requête d’ordre juridique en vous proposant des réponses pertinentes et fiables, appropriées à votre litige en question.
Votre harceleur peut encourir une sanction pénale où il risquera un an d’emprisonnement en plus d’une amende de 15 000 euros.
Gars aux amateurs et courage aux victimes !